Sneïba nous apprend, dans son humeur de la semaine, que « Mohamed ould Abdel Aziz […] a poursuivi la mise en place d’un état-civil fiable ». Poursuivi, peut-être ; mais il ne l’a toujours pas rattrapée.
Un homme particulièrement méchant tomba, un jour, grièvement malade. Une femme qui n’avait pas échappé à ses médisances le croisa dans la rue après son rétablissement. « J’ai pensé être victime d’un empoisonnement », lui révéla-t-il. « Tu t’es donc mordu la langue », lui répondit-elle.




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