
Le président Mohamed Ould Abdel Aziz s’est directement envolé d’Atar vers la Guinée, le Libéria et la Sierra Léone pour aller compatir avec ses pairs et leurs peuples touchés par la fièvre à virus Ebola.

Un célèbre proverbe français nous apprend, à juste titre, qu’il ne faut pas vendre la peau de l’ours avant de l’avoir tué. Lors de sa dernière visite au Hodh Ech-Chargui, Ghazouani l’a répété – mais indirectement – aux membres de son équipe, à ses soutiens et à tous ceux qui veulent l’enterrer tôt.