Mon propos n’est pas tant une prise de position politique qu’un témoignage personnel, un acte de justice rendue à un homme victime d’accusations infondées sur ce qu’il a de plus cher et de plus intime: sa santé!
Il y a quelques semaines, un ancien fonctionnaire devenu conservateur de bibliothèque, Ahmed Mahmoud ould Mohamed, dit Gmal, publiait sur Facebook un post au titre évocateur : « La mémoire en décharge : quand les archives nationales finissent dans les ruelles de Nouakchott ».