« La France n'a pas le choix », reconnaissait le président français lors d'une récente tournée au Cameroun, au Bénin et en Guinée-Bissau,« si elle veut continuer à conserver une certaine influence sur le continent africain ».
Ils étaient cinq marins dans la fleur de l’âge, partis de chez eux en quête de pitance.