
Un PS épistolaire est parfois utile. Dans certains cas, il s’impose, même s’il peut être aussi long que la lettre. Dans ma ‘lettre ouverte’ au Colonel Ould Taya d’il y a quelques semaines, je l’avais ainsi adjuré : « Libère-toi !

Une nouvelle affaire de drogue défraie la chronique depuis quelques jours. Même si les informations ne tombent, pour le moment, qu’au compte-gouttes, plus d’une dizaine de personnes seraient actuellement sous les verrous de la gendarmerie, le corps d’armée qui a fait tomber le réseau. Et l’enquête se poursuit.