
Jusqu’à peu de temps avant les élections, Ghazouani se complaisait dans la stature d’un homme de l’ombre qui préfère rester isolé tout en jouant, a minima, le rôle de dauphin de Ould Abdel Aziz.
Des tribus qui se réunissent au vu et au su de tous pour choisir leurs chefs. D’autres qui organisent des festivals ouvertement en leur nom.