
Un épineux problème vient de connaître son dénouement, une issue heureuse que l'on doit indéniablement à trois parties: l'État mauritanien, les médiateurs de l'IPAR et les populations concernées, celles de Feralla et environs.
Ils étaient cinq marins dans la fleur de l’âge, partis de chez eux en quête de pitance.