
Il n’y a pas un secteur aujourd’hui dans notre pays où l’empreinte de la gestion désastreuse de la décennie d’Aziz ne se fait pas sentir. Partout, on paie les frais de ses réalisations bidons et de ses mauvais choix.
Des tribus qui se réunissent au vu et au su de tous pour choisir leurs chefs. D’autres qui organisent des festivals ouvertement en leur nom.