
La Société Nationale Industrielle et Minière(SNIM) est depuis quelques temps dans le viseur de l’opinion publique mauritanienne qui s’interroge sur les raisons de la stagnation de sa production annuelle à douze millions de tonnes.
À Teyarett, un des quartiers populaires de Nouakchott où la criminalité est minime, en comparaison de certaines moughataas où il ne fait pas bon mettre le nez dehors, à partir d’une certaine heure de la nuit, une jeune femme descend d’un taxi en pleine journée.