Il n’y a pas un secteur aujourd’hui dans notre pays où l’empreinte de la gestion désastreuse de la décennie d’Aziz ne se fait pas sentir. Partout, on paie les frais de ses réalisations bidons et de ses mauvais choix.
Des nombreux domaines où l’anarchie règne en maître à Nouakchott, c’est sans conteste le foncier qui tient le haut du pavé. Tout le monde a encore en mémoire la célèbre « poche 10 », située à la jonction entre Tevragh Zeïna et Teyarett, que l’État rasa il y a quelques années.