L’Adrar, cet immense territoire qui s’étendait de l’extrême Nord de la Mauritanie jusqu’aux portes de Nouakchott au Sud englobait le Tiris Zemmour, Dakhlet Nouadhibou et l’Inchiri.
« Ambiguïté délibérée » : voilà comment Ehoud Barak, alors ministre de la Défense de l’entité sioniste, désignait, en 2010, la stratégie nucléaire de son gouvernement ; « une bonne politique, en entente totale avec les États-Unis », tenait-il, sibyllin, à préciser.