« Il est des morts qui rendent immortels », avait hurlé de rage un chantre vietnamien dont le cœur brûlait d’amour pour sa patrie agressée et meurtrie.
« Ambiguïté délibérée » : voilà comment Ehoud Barak, alors ministre de la Défense de l’entité sioniste, désignait, en 2010, la stratégie nucléaire de son gouvernement ; « une bonne politique, en entente totale avec les États-Unis », tenait-il, sibyllin, à préciser.