Malgré les déclarations rassurantes des deux chefs des juntes qui ont accaparé le pouvoir au Mali et au Tchad, la candidature des chefs d'État militaires qui gèrent la conjoncture transitoire dans les deux pays sahéliens est plus
« Ambiguïté délibérée » : voilà comment Ehoud Barak, alors ministre de la Défense de l’entité sioniste, désignait, en 2010, la stratégie nucléaire de son gouvernement ; « une bonne politique, en entente totale avec les États-Unis », tenait-il, sibyllin, à préciser.