
Le régime au pouvoir vit dans une situation d'incertitude et de confusion, suite au rejet cinglant infligé par le peuple mauritanien aux amendements constitutionnels annoncés dans le discours de Nema.

Un célèbre proverbe français nous apprend, à juste titre, qu’il ne faut pas vendre la peau de l’ours avant de l’avoir tué. Lors de sa dernière visite au Hodh Ech-Chargui, Ghazouani l’a répété – mais indirectement – aux membres de son équipe, à ses soutiens et à tous ceux qui veulent l’enterrer tôt.