
« Grâce au courage et l’abnégation des militants des droits de l’Homme, des victimes, des personnalités, politiques et de la Société civile, une avancée notoire est à saluer en Mauritanie, ces dernières années.

Un célèbre proverbe français nous apprend, à juste titre, qu’il ne faut pas vendre la peau de l’ours avant de l’avoir tué. Lors de sa dernière visite au Hodh Ech-Chargui, Ghazouani l’a répété – mais indirectement – aux membres de son équipe, à ses soutiens et à tous ceux qui veulent l’enterrer tôt.