
Plusieurs membres du sénat, chambre du parlement mauritanien, supprimée à la faveur d’un référendum constitutionnel organisé le samedi 05 août dernier, se réclamant du groupe parlementaire de la majorité, dénoncent «

Un célèbre proverbe français nous apprend, à juste titre, qu’il ne faut pas vendre la peau de l’ours avant de l’avoir tué. Lors de sa dernière visite au Hodh Ech-Chargui, Ghazouani l’a répété – mais indirectement – aux membres de son équipe, à ses soutiens et à tous ceux qui veulent l’enterrer tôt.