La question de l’esclavage est une affaire qui divise les Mauritaniens. Le débat n’est plus maintenant de savoir si ce phénomène particulièrement abject se manifeste en pratiques ou en séquelles.
Un célèbre proverbe français nous apprend, à juste titre, qu’il ne faut pas vendre la peau de l’ours avant de l’avoir tué. Lors de sa dernière visite au Hodh Ech-Chargui, Ghazouani l’a répété – mais indirectement – aux membres de son équipe, à ses soutiens et à tous ceux qui veulent l’enterrer tôt.




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