
La capitale mauritanienne a vibré, du 5 au 10 novembre, aux sons et aux décibels de la 4e édition du Festival Jazz Plus de Nouakchott. Un programme riche et varié, pour le plus grand bonheur des mélomanes.

Un célèbre proverbe français nous apprend, à juste titre, qu’il ne faut pas vendre la peau de l’ours avant de l’avoir tué. Lors de sa dernière visite au Hodh Ech-Chargui, Ghazouani l’a répété – mais indirectement – aux membres de son équipe, à ses soutiens et à tous ceux qui veulent l’enterrer tôt.