
Depuis le week-end dernier, la Mauritanie est à nouveau plongée dans le tourbillon d’un débat relatif à la question de savoir si on devait respecter la constitution, ou la charcuter pour permettre une candidature de Mohamed Aziz

Un célèbre proverbe français nous apprend, à juste titre, qu’il ne faut pas vendre la peau de l’ours avant de l’avoir tué. Lors de sa dernière visite au Hodh Ech-Chargui, Ghazouani l’a répété – mais indirectement – aux membres de son équipe, à ses soutiens et à tous ceux qui veulent l’enterrer tôt.