Ce dimanche 15 septembre, la Tunisie a encore montré au monde son grand attachement à la démocratie et au progressisme tant les élections semblent s’être déroulées dans d’excellentes conditions.
Après des rumeurs de plus en plus insistantes sur l’imminence d’un changement de gouvernement dont même le chef serait partant à coup sûr, la montagne a finalement accouché d’un léger remaniement. Quatre ministres ont été défénestrés et un cinquième a vu sa chute amortie par un tremplin à la présidence. Pourquoi quatre ?