De plus en plus, il devient rare dans notre pays qu’un journal, malgré l’absence de moyens financiers pourtant indispensables, puisse assurer sa régularité.
Des nombreux domaines où l’anarchie règne en maître à Nouakchott, c’est sans conteste le foncier qui tient le haut du pavé. Tout le monde a encore en mémoire la célèbre « poche 10 », située à la jonction entre Tevragh Zeïna et Teyarett, que l’État rasa il y a quelques années.