Dans son discours du 3 Mai à Néma, le président de la République avait laissé entendre qu’un dialogue politique se tiendrait dans trois à quatre semaines de là. Nous voilà, désormais, au terme du délai annoncé.
La prévarication et la gabegie ont-elles encore de beaux jours devant elles ? Jusqu’à quand le détournement des deniers publics restera-t-il le sport favori de nos (ir)responsables ? La lutte contre de telles pratiques que tout gouvernement chante à tue-tête ne serait-elle qu’un vain mot ?