On dit que l’amitié des djinns vous impose de concéder au chef des malins djinns une partie de vos biens, de votre religion ou de vos enfants.
La prévarication et la gabegie ont-elles encore de beaux jours devant elles ? Jusqu’à quand le détournement des deniers publics restera-t-il le sport favori de nos (ir)responsables ? La lutte contre de telles pratiques que tout gouvernement chante à tue-tête ne serait-elle qu’un vain mot ?