L’émotion était perceptible dans la salle d’audience au deuxième jour du procès en appel des cadres et militants abolitionnistes qui fût celle du procès de la torture.
La prévarication et la gabegie ont-elles encore de beaux jours devant elles ? Jusqu’à quand le détournement des deniers publics restera-t-il le sport favori de nos (ir)responsables ? La lutte contre de telles pratiques que tout gouvernement chante à tue-tête ne serait-elle qu’un vain mot ?