Le président de la République, Mohamed Ould Abdel Aziz, président en exercice de l’Union Africaine (UA), a appelé jeudi à « une solution politique consensuelle » à la crise libyenne, dans son discours inaugural à l’o
« Ambiguïté délibérée » : voilà comment Ehoud Barak, alors ministre de la Défense de l’entité sioniste, désignait, en 2010, la stratégie nucléaire de son gouvernement ; « une bonne politique, en entente totale avec les États-Unis », tenait-il, sibyllin, à préciser.