Mohamedou Ould Tijani, un paisible citoyen acquiert en 2012 une gazra au prix d’un million six cents mille d’une tierce personne qui l’habite depuis les années 90. La concession se situe sur la route de l’axe menant à Akjoujt.
La prévarication et la gabegie ont-elles encore de beaux jours devant elles ? Jusqu’à quand le détournement des deniers publics restera-t-il le sport favori de nos (ir)responsables ? La lutte contre de telles pratiques que tout gouvernement chante à tue-tête ne serait-elle qu’un vain mot ?