“Si les rescapés ou victimes harratines ont été oubliés ou ignorés, c’est parce qu’ils considérés par l’Etat et ses tortionnaires comme des descendants d’esclaves »
Depuis quelques jours, une affaire secoue la Toile. Tout a commencé lorsque, dans l’émission « Salon de la presse » sur la chaine TTV, Hanevy ould Dahah évoqua le marché de réhabilitation du principal quai du port de Nouadhibou, attribué à un groupement composé de deux sociétés ; l’une mauritanienne et l’autre turque.