Après cinquante-quatre ans d'indépendance et un départ diplomatique en fanfare, la politique étrangère mauritanienne se noie, aujourd'hui, dans des limbes d'actions « court-termistes » et idéologiques, qui plombent jusqu’à
La prévarication et la gabegie ont-elles encore de beaux jours devant elles ? Jusqu’à quand le détournement des deniers publics restera-t-il le sport favori de nos (ir)responsables ? La lutte contre de telles pratiques que tout gouvernement chante à tue-tête ne serait-elle qu’un vain mot ?