Le rejet, vendredi dernier, des amendements constitutionnels, par trente-trois sénateurs retentit en véritable coup de tonnerre, sur la scène politique nationale.
Après des rumeurs de plus en plus insistantes sur l’imminence d’un changement de gouvernement dont même le chef serait partant à coup sûr, la montagne a finalement accouché d’un léger remaniement. Quatre ministres ont été défénestrés et un cinquième a vu sa chute amortie par un tremplin à la présidence. Pourquoi quatre ?