
Plusieurs navires européens titulaires de licences de pêche dans le cadre du protocole Mauritanie/UE ont été sommés par les autorités gouvernementales de regagner leur port d’attache.

L’affaire dite du laboratoire de police, construit et équipée par une société anglaise aux normes internationales, continue de susciter un vif intérêt dans l’opinion publique mais n’en a pas moins connu son épilogue la semaine dernière.