Le préambule de la Constitution mauritanienne reconnaît la diversité culturelle et ethnique du pays, avec l’existence de quatre langues nationales : Hassaniya, Pulaar, Soninké et Wolof.
La prévarication et la gabegie ont-elles encore de beaux jours devant elles ? Jusqu’à quand le détournement des deniers publics restera-t-il le sport favori de nos (ir)responsables ? La lutte contre de telles pratiques que tout gouvernement chante à tue-tête ne serait-elle qu’un vain mot ?