Depuis une cinquantaine de jours, la ville d’Atar souffre d’une soif qui n’épargne quasiment aucun de ses quartiers. Tout Atar a soif. C’est la débandade. L’eau manque gravement.
La prévarication et la gabegie ont-elles encore de beaux jours devant elles ? Jusqu’à quand le détournement des deniers publics restera-t-il le sport favori de nos (ir)responsables ? La lutte contre de telles pratiques que tout gouvernement chante à tue-tête ne serait-elle qu’un vain mot ?