La dernière saison des pluies a laissé la plupart des routes de Nouakchott dans un piteux état. Le semblant de goudron avec lequel nos routes sont construites s’est vite dissous dans les eaux stagnantes ou de ruissellement.
La prévarication et la gabegie ont-elles encore de beaux jours devant elles ? Jusqu’à quand le détournement des deniers publics restera-t-il le sport favori de nos (ir)responsables ? La lutte contre de telles pratiques que tout gouvernement chante à tue-tête ne serait-elle qu’un vain mot ?