Ma relation avec mon frère et cher ami Feu Ahmedou ould Mohamed ould Abel Aziz avait débuté au milieu des années quatre vingt-dix. Je l’avais connu depuis lors accueillant et toujours souriant.
La prévarication et la gabegie ont-elles encore de beaux jours devant elles ? Jusqu’à quand le détournement des deniers publics restera-t-il le sport favori de nos (ir)responsables ? La lutte contre de telles pratiques que tout gouvernement chante à tue-tête ne serait-elle qu’un vain mot ?