Blessé par balles et traité à l’hôpital militaire de Nouakchott pendant quelques jours, Bedr Ould Abdel Aziz, est désormais hors de danger et a regagné le domicile familial.
La prévarication et la gabegie ont-elles encore de beaux jours devant elles ? Jusqu’à quand le détournement des deniers publics restera-t-il le sport favori de nos (ir)responsables ? La lutte contre de telles pratiques que tout gouvernement chante à tue-tête ne serait-elle qu’un vain mot ?