Dans le cadre d’un projet financé par le Fonds d’affectation des Nations Unies, SOS-Esclaves a organisé une série de sessions de formation à Néma et Atar, au profit d’une soixantaine de ses militants.
La prévarication et la gabegie ont-elles encore de beaux jours devant elles ? Jusqu’à quand le détournement des deniers publics restera-t-il le sport favori de nos (ir)responsables ? La lutte contre de telles pratiques que tout gouvernement chante à tue-tête ne serait-elle qu’un vain mot ?