Les détenus d’opinion, à leur tête, Biram Abeid Dah, Président d’IRA et Prix 2013 de l’ONU pour les Droits de l’homme, refusent de comparaitre devant le tribunal de la ville de Rosso (Sud de la Mauritanie).
La prévarication et la gabegie ont-elles encore de beaux jours devant elles ? Jusqu’à quand le détournement des deniers publics restera-t-il le sport favori de nos (ir)responsables ? La lutte contre de telles pratiques que tout gouvernement chante à tue-tête ne serait-elle qu’un vain mot ?