Depuis une cinquantaine de jours, la ville d’Atar souffre d’une soif qui n’épargne quasiment aucun de ses quartiers. Tout Atar a soif. C’est la débandade. L’eau manque gravement.
Depuis quelques jours, une affaire secoue la Toile. Tout a commencé lorsque, dans l’émission « Salon de la presse » sur la chaine TTV, Hanevy ould Dahah évoqua le marché de réhabilitation du principal quai du port de Nouadhibou, attribué à un groupement composé de deux sociétés ; l’une mauritanienne et l’autre turque.