Amnesty International (AI) n’a pas été tendre. C’est le moins qu’on puisse dire. Elle a dressé un tableau particulièrement sombre de la situation des droits de l’homme et des libertés en Mauritanie.
Depuis quelques jours, une affaire secoue la Toile. Tout a commencé lorsque, dans l’émission « Salon de la presse » sur la chaine TTV, Hanevy ould Dahah évoqua le marché de réhabilitation du principal quai du port de Nouadhibou, attribué à un groupement composé de deux sociétés ; l’une mauritanienne et l’autre turque.