Dans un discours de plus de deux heures, Mohamed ould Abdel Aziz a parlé, à Néma, de tout et de rien... sauf de ce qu’il voulait dire.
La prévarication et la gabegie ont-elles encore de beaux jours devant elles ? Jusqu’à quand le détournement des deniers publics restera-t-il le sport favori de nos (ir)responsables ? La lutte contre de telles pratiques que tout gouvernement chante à tue-tête ne serait-elle qu’un vain mot ?