Kiffa se sent encore marginalisée. La population grogne. Car, après des mois brûlants, marqués par la disette et la soif, la ville replonge, à nouveau, dans l'obscurité.
La prévarication et la gabegie ont-elles encore de beaux jours devant elles ? Jusqu’à quand le détournement des deniers publics restera-t-il le sport favori de nos (ir)responsables ? La lutte contre de telles pratiques que tout gouvernement chante à tue-tête ne serait-elle qu’un vain mot ?