En Mauritanie, l’exercice des droits fonciers des petits exploitants, notamment les femmes, se heurte à des pratiques et coutumes qui les défavorisent, en termes d’accès et de contrôle des ressources du sol.
La prévarication et la gabegie ont-elles encore de beaux jours devant elles ? Jusqu’à quand le détournement des deniers publics restera-t-il le sport favori de nos (ir)responsables ? La lutte contre de telles pratiques que tout gouvernement chante à tue-tête ne serait-elle qu’un vain mot ?