Le singulier, en cette histoire de virus, est la disproportion entre la panique provoquée par le « petit » dernier de leur famille et la quasi-indifférence à l’égard de celui de la grippe à qui il ressemble beaucoup.
La prévarication et la gabegie ont-elles encore de beaux jours devant elles ? Jusqu’à quand le détournement des deniers publics restera-t-il le sport favori de nos (ir)responsables ? La lutte contre de telles pratiques que tout gouvernement chante à tue-tête ne serait-elle qu’un vain mot ?