Depuis quelques mois, l’ONU, via la Minusma et la France soulèvent des accusations d’exactions contre les populations peules dont des exécutions sommaires.
La prévarication et la gabegie ont-elles encore de beaux jours devant elles ? Jusqu’à quand le détournement des deniers publics restera-t-il le sport favori de nos (ir)responsables ? La lutte contre de telles pratiques que tout gouvernement chante à tue-tête ne serait-elle qu’un vain mot ?