Le Racing club se trouve aujourd’hui dans un état de vétusté et de dégradation avancé au grand dam des sportifs et athlètes qui le fréquentent quotidiennement.
La prévarication et la gabegie ont-elles encore de beaux jours devant elles ? Jusqu’à quand le détournement des deniers publics restera-t-il le sport favori de nos (ir)responsables ? La lutte contre de telles pratiques que tout gouvernement chante à tue-tête ne serait-elle qu’un vain mot ?