Si la deuxième vague de la pandémie a obligé les pouvoirs publics à prendre des mesures aussi draconiennes que la première – couvre-feu et fermeture des établissements scolaires – tous les démembrements de la Société civile au G
La prévarication et la gabegie ont-elles encore de beaux jours devant elles ? Jusqu’à quand le détournement des deniers publics restera-t-il le sport favori de nos (ir)responsables ? La lutte contre de telles pratiques que tout gouvernement chante à tue-tête ne serait-elle qu’un vain mot ?