Plus de 3 mois après le placement en détention préventive de Mohamed Abdel Aziz, ancien président de la République, pour un chapeletd’infractions liées à sa décennie de gouvernance, ses avocats continuent à dénoncer «
La prévarication et la gabegie ont-elles encore de beaux jours devant elles ? Jusqu’à quand le détournement des deniers publics restera-t-il le sport favori de nos (ir)responsables ? La lutte contre de telles pratiques que tout gouvernement chante à tue-tête ne serait-elle qu’un vain mot ?