Si l’élection du président Mohamed Cheikh El Ghazwani a eu le mérite de « pacifier » et de « normaliser » les rapports entre le pouvoir, sa majorité parlementaire et l’opposition, le moins qu’on puisse dire que cette page d’amour
La prévarication et la gabegie ont-elles encore de beaux jours devant elles ? Jusqu’à quand le détournement des deniers publics restera-t-il le sport favori de nos (ir)responsables ? La lutte contre de telles pratiques que tout gouvernement chante à tue-tête ne serait-elle qu’un vain mot ?