
Si l’on en croit des sources concordantes et confidentielles, l’homme d’affaire français, qui gère de nombreux ports en Afrique, aurait tenté de s’emparer du port autonome de Nouakchott dit port de l’amitié (PANPA).

Ils sont camionneurs, livreurs de pizzas, plongeurs dans les restaurants, taximen, gardiens d’immeubles que l’ignorance crasse a chassés de leur pays. Les autres, locaux ceux-là, sont soit chômeurs désœuvrés, soit délinquants en rupture de ban, soit aigris par une vie qui a souri à d’autres.