
Le collectif des veuves des victimes des exactions militaires perpétrées par la soldatesque d’Ould Taya, ont organisé, le samedi 25 Mars, un sit-in devant la présidence de la République.

Ils sont camionneurs, livreurs de pizzas, plongeurs dans les restaurants, taximen, gardiens d’immeubles que l’ignorance crasse a chassés de leur pays. Les autres, locaux ceux-là, sont soit chômeurs désœuvrés, soit délinquants en rupture de ban, soit aigris par une vie qui a souri à d’autres.