
Au conseil International des droits de l’homme de Genève, le rapporteur spécial des Nations Unies pour les droits de l’homme et l’extrême pauvreté n’a pas changé, d’un iota, ses allégations sur la situation en Mauritanie.

L’affaire dite du laboratoire de police, construit et équipée par une société anglaise aux normes internationales, continue de susciter un vif intérêt dans l’opinion publique mais n’en a pas moins connu son épilogue la semaine dernière.